Maudite Porte xD [Libre]

L'Astre Solaire, et le Ciel Bleu et dégagé, étaient au Beau Fixe cette matinée... Au loin l'on pouvait voir une silhouette des plus active, se rapprocher des portes de la célèbre Cité Blanche, ou il est dit que le peuple, vivant est très narcissique... Et cette silhouette au loin qu se rapproche dangereusement du Donjon... C'est une Femme d'après ses courbe et sa démarche ( Tourne du cul xD )... C'est cheveux de la même couleur que cette fleur, la lavande... C'est yeux d'un bleu, Tantôt aussi foncé et profond que les fonds marins, Tantôt Aussi clair qu'un Ciel arboré les couleurs des rayons de l'Astre Solaire... Oui c'est bien elle, toujours aussi fraîche et curieuse : Il s'agit de Saori Kido... Notre Héroïne ^^
* Purée je suis enfin, arrivée... Bon Maintenant, il faut que je réussisse à entrer dans cette foutue Cité -_-"... * Saori s'allongeait au sol, cherchant une manière d'Entrer dans cette Bâtisse Imprenable... Quand soudain, elle eu un illumination " Si je faisait le tour !!! Y'a sûrement un coté ou est effigie une porte... De toutes façon J'ai rien à perdre, à par du temps... Et du Temps j'en ai ^^ " Alors décidée, Saori fît le tour de la Cité Blanche, en courant bien sûr comme à son habitude ^^.

Après 20 minutes de Courses, Nous revoyons notre Étoile, devant la porte géante menant à l'entrée de la Cité du Peuple de la Lumière * Bon, je crois que le coup de la porte de derrière : Sa marche que pour les maison -_-" * Lasse des ses efforts vain, Saori s'allongea dans l'herbe, près de l'Entrée du Donjon... Elle ferma les yeux et réfléchit à une stratagème... * Si je creucht la serrure, peut-être que je pourrai entrer... nan sa marchera pas -_-'' Et si je creusait un tunnel... Nan vaux mieux pas, d'en l'immédiat, vue que je ne connais pas le plan du cité par coeur, sur le bout des doigts... Au pire, je pourrais tombé dans des cachot -_-''... *

Une brise se fît sentir, tendît qu Saori était toujours tourmenté, par le fait qu'elle ne trouvait aucun moyen d'entrer... elle ouvrit légèrement les yeux et vit des feuille mortes, voler, très dans le ciel, et passer les portes gigantesque et imposantes du Donjon... Il y avait aussi un étranger qui venait d'arriver en volant * Sûrement, un du Vent ^^ * Celui-ci, toqua à la porte et annonça son nom au et fort... * Morte de Rire, je pari qu'il va attendre, je ne sais combien de temps... * Une bonne minute après, l'on vît les portes gigantesques de la Cité Blanche, s'entrouvrirent... Juste assez pour que le visiteur entre... * Chanceux celui-là... Je pari qu'il est émissaire du Vent ^^... C'est comme aime un monde... Il est émissaire et moi Conseillère de la Lumière... Et c'est lui qui entre tranquillement... *

Soudain, les yeux de Saori s'ouvrirent au maximum * Quelle idiote je fait ! Je n'ai qu'a m'annoncer... Pourquoi j'y est pas pensée... Peut-être que je suis plus chambouler par la mort de ma Famille, que je ne le croit TT-TT * On vît une larme, illuminer par les rayons du soleil, perler sur la joue de Saori * Papa... Maman... Petite frère... Vous me manquer, mais je vais tout faire pour protéger le Peuple de la Lumière... * Saori sécha ses larmes, se leva et se dirigea vers les 2 portes gigantesques, qui étaient le seul moyen d'entrée et de sortie, de la cité... Saori prit son sceptre, ses plus aux airs et hurla d'une voix vive et autoritaire " Garde ! Je vous prit d'ouvrir la porte ! Je suis la nouvelle Conseillère de la Lumière ! Saori Kido, Alias l'Étoile Filante !" * Pourvue que ça marche... Sainte Sevy, Venez en mon aide, et je vous promet de prier sous l'Astre Solaire en son Zénith... * et Comme si, quelqu'un là haut, l'avait exaucée... Les portes s'entrouvrirent pour Saori... * Merci Déesse resplendissante... *

Saori entra tant bien que mal, sourire aux lèvres et fit signe d'allégeance aux gardes, qui étaient poster juste derrière les portes... " Merci beaucoup, Gardes ! Je parlerai de vous à a Chef de la Lumière " Les Gardes étonnés firent, eux aussi, signe d'allégeance, pour remercier Saori... Celle-ci ensuite, prit direction de la Place du Marché où les marchand vendaient leurs produits, en annonçant des offres " exceptionnelles "... Saori absorbée par la Crié, elle percuta de plein fouet un passant, où une passante... On ne pouvait pas savoir le sexe de celui ou celle-ci, car Saori était trop occupé à se toucher le bas des reins, en maudissant le Ciel et en s'excusant " Pardon, excusez-moi " * Vous là haut, j'ai l'impression que l'on n'a pas le droit de vous demander quelque chose, sans rien en retour (-_-) ... C'est tout en vôtre honneur, chez Déesse Sephy *

[ Je m'incruste xD je peux?]


- Terre en vue, Capitaine! Terre en vue!
- Réduisez l'allure, bon sang! Vous voulez qu'on s'écrase sur la côte, ou quoi? Virez à tribord! Bougez-vous le train, bande de…

Maureen Mormegil cessa d'écouter. Accoudée à l'avant du bateau, elle laissait son regard effleurer l'océan. Le vent chargé de sel se glissait dans ses cheveux un peu humides, filait dans son cou, passant sous son manteau avant de venir effleurer son dos. Une légère grimace déforma son visage. Le tatouage qui lui mangeait pratiquement tout le dos était encore bien récent, pas vraiment encore cicatrisé, et l'air marin lui brûlait la peau. Mais elle ne bougea pas, se contentant d'observer la côte qui s'approchait lentement. Il lui fallut attendre encore deux bonnes heures, le temps que le bateau s'immobilise dans le petit port, avant de pouvoir se redresser pour esquisser un mouvement vers la passerelle aménagée. Ramassant au passage sa besace et sa petite arbalète, elle descendit du navire, sans un adieu, sans un regard pour les marins. Après tout, elle n'était qu'une simple passagère que la chef du clan de l'eau avait fourré dans les mains du capitaine en toute dernière minute. Evidemment, l'arrivée de la ménestrel avait suscité quelques interrogations, mais après quelques silences cachés derrière de radieux sourires, les marins avaient laissé tombé et avait tout simplement oublié son existence. D'ailleurs aucun d'entre eux ne lui avait adressé un signe d'adieu ou même un regard. Sauf le capitaine qui la suivit des yeux jusqu'à ce qu'elle se fasse avaler par la foule. Il s'autorisa un soupir de soulagement. Malgré les sourires chaleureux, les contes racontés le soir, les jongleries et les tours de passes-passes pour distraire ses hommes pendant ces deux semaines de voyages, le capitaine n'aimait pas beaucoup la ménestrel. Il ignorait pourquoi, mais c'était ainsi. S'arrachant de sa rêverie, il reprit sa voix autoritaire, donnant des ordres à son équipage.

La ménestrel ne tarda pas à quitter le petit village portuaire. Pour deux raisons: Elle détestait l'odeur de poisson qui stagnait dans les rues et elle avait hâte de retrouver une route, avec de la poussière, des cailloux… pourquoi maîtrisait-elle l'eau? C'était idiot. Non pas qu'elle détestait foncièrement cet élément… c'est juste que la terre ou les ombres auraient su mieux mettre en valeur son caractère. Mais non… elle avait hérité de son crétin de père… Enfin bref. Maureen eut l'excellent plaisir d'avoir les moyens de s'acheter un cheval et de pouvoir épargner ses pieds. Son chef de clan lui avait laissé un peu d'or, bien que la ménestrel aurait pu hériter de la fortune des Aybara… oui mais cette richesse avait été distribuée aux parents de ses victimes. Aucune importance en fait. Elle était dehors, sur une route de terre et libre de ses mouvements. La première fois qu'elle se sentait vivante après plus d'un an d'enfermement. Elle fut tentée par un petit galop, comme dans les grandes histoires qu'elle racontait aux badauds. Oui mais… non. Elle laissa l'animal à la belle robe brune prendre le chemin plus ou moins tracé d'un pas calme. Elle n'était pas l'héroïne de cette histoire. Un personnage secondaire qui partait chercher des informations pour son chef, guère plus. Mais cela convenait à la ménestrel. Elle ne cherchait pas à laisser sa trace dans l'Histoire, elle se contentait… de l'écrire.

Il lui fallut plusieurs jours avant d'atteindre sa première étape, Lughan. La cité blanche du peuple de la lumière, allié de son propre clan. Une cité pleine d'histoires et de légendes, le genre de ville qu'elle appréciait bien que Lughan soit pour elle un peu trop… parfaite. C'était surtout les habitants qui l'énervaient. De parfaits êtres de la lumière, de bons et gentils personnages, presque à être écœurants. Oui mais c'était une cité où elle ne risquait pas grand chose et qui se trouvait sur sa route. Le pas du cheval étant particulièrement lent, elle avait ramassé cinq cailloux et s'amusait à jongler avec. Une forme de distraction comme les autres. Elle fredonnait pour elle-même une chanson oubliée des mémoires qui relatait la mort d'un valeureux héros… Stac, d'un coup, elle reprit ses cailloux alors qu'elle arrivait en vue des imposantes murailles qui protégeaient la ville, sans pour autant arrêter sa chanson à peine audible. Les gardes ne devaient apercevoir qu'une silhouette à l'allure vagabonde, encapuchonnée qui plus est. Une voyageuse comme une autre, sans aucun doute… Un mouvement attira le regard gris de la ménestrel. Une autre âme désirait entrer apparemment, seulement… pourquoi faisait-elle le tour? Ne savait-elle pas qu'il n'y avait qu'une seule porte pour entrer dans la ville? Léger haussement d'épaule quand la silhouette s'efface de sa vision, avant qu'un petit coup de talon incite sa monture à prendre un petit trot en direction des grandes portes. Bon d'accord, les portes ne s'ouvrirent pas… Elle pencha légèrement la tête sur le côté, perplexe, jusqu'à ce qu'un garde lui demande nom, prénom, clan et raison de la venue.

*Je savais pas que narcissique rimait avec parano…*

- Mes salutations les plus sincères, messire. Je ne suis qu'une simple ménestrel venue admirer votre magnifique ville. Mon nom ne vous dira pas grand chose, je le crains. Hisië, c'est ainsi que ma carcasse de conteuse est appelée de par les villages et autres bourgades. Quant à mon clan, j'aime croire n'appartenir à aucun… M'offrirez-vous le privilège de découvrire votre cité blanche? Ou devrais-je retourner sur les route avec pour seule compagnie mon ombre et mes contes?

Elle n'eut pas à attendre très longtemps. Les portes finirent par s'ouvrir suffisamment pour que le cheval puisse passer. Entrant alors dans la cité, elle inclina légèrement la tête, dans un bref salut aux gardes, avant de s'enfoncer dans les ruelles. Ce n'avait pas été très compliqué d'entrer au final… la difficulté viendra plus tard…

Une demie-heure plus tard, Maureen tournait toujours en rond. Tenant l'animal par les reines, elle avait finalement retrouvé le sol, poussant quelque peu les passants. Elle était déjà passée par là… elle reconnaissait l'enseigne. Et voilà. Elle n'arrivait pas à trouver son chemin dans ce dédale de rues. D'ailleurs, où voulait-elle aller? Une auberge, oui. Ca lui conviendrait… faudrait-il encore qu'elle en dégote une à son goût… A force de marcher, d'esquiver et de pousser, elle arriva sur ce qui semblait être la place du marché… avec le marché. Etouffant un juron devant sa malchance, la ménestrel tentait tant bien que mal de se frayer un passage… jusqu'à ce qu'un *censurer* d'habitant la bouscule. Ne s'attendant pas à un tel choc, elle se retint instinctivement à la bride du cheval pour ne pas tomber. L'animal, déjà rendu nerveux par autant de monde, se cambra violemment pour contre-balancer ce poids qui entraînait sa tête vers le sol, marquant d'un hennissement son mécontentement. Les gens s'écartèrent brusquement du cheval qui se débattait pour quitter cet endroit de fou. S'avouant vaincue, Maureen préféra lâcher les rênes et laisser l'animal prendre la poudre d'escampette, la population fuyant bien vite du chemin du cheval nerveux. Il valait mieux ça qu'il ne blesse quelqu'un ici… Se relevant en maugréant pour elle-même, elle épousta son grand manteau noir de toute façon grisé par la poussière des routes. La capuche tombée révélait le visage de la ménestrel dont les yeux se posèrent sur la personne qui l'avait bousculé. Elle lui sourit gentiment, semblant accepter les excuses de la demoiselle.

- J'espère que vous ne vous êtes pas fait mal…

Ajouta-t-elle simplement, avant de se tourner vers la direction qu'avait pris son cheval. Son arbalète était accrochée à la selle ainsi que son sac…

Saori faisant signe qu'elle n'avait pas eut de dommages vis-à-vis du fait qu'elle venait de percutée quelqu'un... Elle se releva néanmoins en fronçant les sourcils, fermant les yeux et frottant doucement le dessus de son crâne à l'aide de la paume de sa fine main... Voyant que son interlocutrice tournait la tête vers un source de bruit de sabot, Saori tourna la tête et remarqua qu'un cheval était partit, sans cocher afin que l'on puisse le diriger ou du moins le contrôler...

- Ne me dites pas qu'il s'agit de... C'est pas vrai -_-''

dit-elle en la dévisageant du regard, la bouche ouverte les yeux exorbitant... N'en rajoutant pas d'avantage, elle n'attendit pas la réponse de la jeune femme, semblant vraiement préoccupé par le fait que le cheval venait de partir en galopant...

* A tout les coup ce cheval partit comme un dératée au galop, doit l'appartenir et des effets personnelles doivent être accroché à la selle... Je 'avance peut-être mais en tout cas je dois faire quelque chose ! Même si je dois l'avouer : prendre un cheval dans un marché aussi étroit est très dangereux... Autant pour elle que pour le cheval ou encore les gens autour... Zut ! le cheval s'en va ! Mais il pourra pa aller bien loin, les seules portes ouvrant la cité blanche au monde extérieur sont refermés et ce n'est point un cheval, aussi rapide et puissant soit-il, qui pourra les détruire ou passer à travers -.-*

N'en rajoutant pas d'avantage de sa méditation intérieur, la Conseillière du peuple de la lumière s'élança en courant, à la poursuite du cheval suréxcité... Saori courut le plus vite possible versle premier cheval quel trouva, monta le cheval blanc et d'un coup sec le fit galoper en direction du cheval en état de fuite...

" Je vais le récupérer !!!! "

furent les seuls mots qu'elle réussit à prononcer et que les spectateurs habiants et son interlocutrice ici présent purent entendre... Revenant à la conseillière... Celle-ci fonçait à l'aide de sa monture d'un blanc immaculé, sur le cheval en fuite... Quelques secondes plus tard, elle se touvait juste à côté du cheval, toujours partit de peur ou d'extation, faire le tour de la cité ou plutôt des murs de la cité, vue de l'intérieur... Saori ne vit plus qu'une solution, elle devait immobiliser les 2 chevaux en même temps...

* Mais comment voulez-vous que je puisse arrêtez 2 chevaux, à moi toutes seuls,sachant que je ne pas une élémentaliste de terre, je ne peux pas faire avancer de la terre, pour crée un enclos... Mais J'ai la lumière... Le problème rste toujours : je n'ai pas mon sceptre et je ne vais aps tuer ses animaux. Je n'ai que ma flûte... Ohh ! Mais j'y pense, !!! Comme l'on longe les murs de la cité !! je n'ai qu'a le collé au mur et dès que l'on doit tourné je le bloque et je le prend en main !!! Nan, ce serait trop risqué... Je pourrais peut-être '*

Saori toujours au côté du cheval apeuré, cherchait dépesréremment une solution... Puis une idée un peu risqué lui vint à l'esprit... Elle ferma les yeux et mis comme en pleine méditation, ses apumes face à face. Puis, progressivement que son incantation se finissait elle ouvrait les 2 mains, pour enfin pour voir les 2 mains recouvertes d'un énergie blanche... Elle tendit la main en avant et en arrièreou plutôt à droite et à gauche ;si l'on prend en cosidération la position de Saori sur le cheval... D'un coup fermit et réouvrit lesdeu mains, alternativement et cria, tandis que les 2 concentation d'énergie étaient projétées à 2 mètres en avant ou en arrière.

- Go ! Lightning ! Encerclement !

Soudain, elle se mit débout, se rapprocha du cheval et lui fit un manchette, à un point vital, qui endormit le destrillé qui avait servit Saori... Avanat que celu-ici ne tombe à terre, elle fit un salton arrière et attérit au sol... Un sourire au lèvres... L'autre cheval s'était arrêté, apeuré par quelque chose... Ce quelque chose ou plutôt ces choses étaient des boules d'énergies, un petit sort pratique appellé "Lightning"... Saori s'avança doucement vers le cheval affolé cherchant une issue... * Restons calme... *

- Chuuuut... Tout va bien, je suis une amie ^^ Je ne te veux aucun mal. Je voulais juste t'arrêter pas te blesser...

dit-elle en avançant doucement vers le cheval apeuré, d'un voie douce et sincère... Le cheval au début méfiant, dut vite rangé sa armure d'indifférence vis-à-vis de la musicienne, qui lui avait offert sa plus voix et son pus beau sourire... Le cheval s'avança vers saori et se laissa carsser par celle-ci, pour finir par s'endormir dans un coin tranquille, à l'aide de l'instrumet de la musicienne, sa flûte... Peu après, elle rejoignit Maurren, qui l'attendait depuis tout à l'heure... Saori tout lui racontant son récit, elle redonnait le cheval qui avait reçu une manchette et donnait un peu d'argent au marchand de chevaux, dont le cheval allait être quelques peu en repos [ Ba oui, le coup porté endort le cheval durant plusieurs heures ^^ ]

- J'espère que je ne t'ai pas fait trop attendre ?

dit-elle ironiquement avant de quitté sa peut-être nouvelle amie... Elle devait aller discuter avec l'actuel Bras droit de la chef du Peuple Lumineux... Les temps actuels étaient durent pour la génération dont elle faisait parti... Enfin comme on dit: quand l'appétit va, tout va ! [ Découverte de la citation après avoir vu Astérix chez Cléopatre le déssin animé ] C'est pour cette raison, que lui pouvait revoir Saori, un blode Curry aux nouilles dans ses mains, en plein repas, tout en amrchan t dans la rue, en direction de la destination promise : le Temple de Sevy

[ Désolé de la durée de temps que tu as du attendre pour avoir ma réponse ^^ ]